top of page
Voor U visual solo.png

12 TRAVAUX POUR VOUS

1| LE POUVOIR LE PLUS PROCHE DE VOUS

Nous mettrons " le pouvoir" à votre service et nous nous rapprocherons de tous les citoyens et cela, par le biais de la démocratie directe.

En transférant le pouvoir de "Bruxelles" aux gouvernements locaux, comme en Suisse, nous appliquerons  le principe de subsidiarité par contre, s’il est plus efficace de prendre des décisions à un niveau supérieur, nous le ferons. La solution la plus efficace pour les citoyens sera toujours privilégiée.

Moins de politique

Nous pourrons le faire avec des cabinets allégés. C'est pourquoi nous réduirons de 75 % le personnel des cabinets et dépolitiserons les administrations. Nous réduirons également les parlements : un poste de député sur trois sera supprimé. Nous réduirons de moitié le financement des partis, qui coûte actuellement, aux contribuables, 80 millions d'euros par an. Dans le cadre de ce budget réduit de moitié, les nouveaux partis auront également une chance s'ils bénéficient d'un soutien populaire suffisant (dépôt de listes complètes, c'est-à-dire 406 candidats). C'est ainsi que nous mettrons fin au monopole des partis existants et de la particratie.

L'abolition du Sénat et des provinces : une grande évidence

Les compétences provinciales seront abolies et transférées au niveau privé, communal ou régional. Nous mettrons fin à la politisation de l'administration : Les congés politiques et les détachements de fonctionnaires seront supprimés.

Plus de démocratie directe

Le président européen, le premier ministre belge, le premier ministre flamand et les bourgmestres seront élus au suffrage direct. Nous vous donnerons la possibilité d'avoir votre mot à dire sur la politique par le biais de référendums, de sondages populaires et d'enquêtes, car trop de choses sont décidées au-dessus de votre tête. Moins de pouvoir pour "Bruxelles", plus de pouvoir pour VOUS. Les décisions seront prises par défaut au niveau local. Ce n'est que lorsqu'il est plus efficace de les prendre à un niveau plus élevé que nous le ferons. C'est ainsi que nous éviterons les politiques de " la tour d'ivoire ".

Pour plus de déontologie chez les hommes politiques

Le gouvernement sera là pour tout le monde. Nous attendons de nos élus qu'ils mettent en œuvre des politiques dans l'intérêt du Citoyen. 

Nous rendrons le statut et les indemnités des hommes politiques transparents et simples. Les ministres ne seront nommés qu'à l'issue d'une audition devant le parlement, au cours de laquelle ils feront la preuve de leurs compétences et de leurs connaissances linguistiques. Nous gouvernerons le pays à partir d'une majorité dans chaque groupe linguistique afin qu'un groupe linguistique ne domine pas les autres.

Tout est 100% transparent pour vous

La démocratie ne peut fonctionner que si le gouvernement est transparent. Nous exigerons un accès public actif au gouvernement : l'État VOUS donne un accès spontané, ouvert et exposé à tous les documents gouvernementaux, en ligne ou sur papier. Comme chacun est censé connaître la loi, les lois sont clairement écrites. Chaque loi est assortie d'une date d'expiration, de sorte que les lois se modernisent plus rapidement.

2| NOUS LIMITONS LE GOUVERNEMENT À SES FONCTIONS ESSENTIELLES

Notre gouvernement doit changer fondamentalement de culture : il doit faire preuve d'humilité et être conscient qu'il ne peut pas tout réglementer. Il se limite à ce qu'il sait faire. Il se concentre sur l'essentiel. On fait confiance aux citoyens, aux organisations et aux entreprises pour qu'ils assument la responsabilité des domaines dans lesquels ils excellent afin de façonner notre société.

 

Bottum up : Vous d'abord

Le gouvernement dépense l'argent de vos impôts avec parcimonie. Par respect pour VOUS, tous les budgets sont équilibrés. Les gouvernements et les ministres qui sont dans le rouge ou qui augmentent les impôts le doivent le ressentir dans leur poche. Les gouvernements devraient pouvoir amortir leurs investissements chaque année, comme le font les entreprises privées.

Le gouvernement devient moins central et plus local.

 

Un état moins onéreux et plus efficace Avec un marqueur rouge épais, nous supprimons le labyrinthe de règles, de lois, d’institutions, d’administrations et de structures telles que le Sénat et les provinces. Une ville comme Bruxelles ne devrait pas louer des locaux commerciaux, mais les vendre à des particuliers. Une réduction de l'État est nécessaire pour vous donner une plus grande liberté de décision. Une diminution de l'État vous permet de réduire vos impôts. Il VOUS restera alors plus d'argent à la fin du mois. La saisie de l'Etat (56%) doit être réduite à 45% au maximum. Entre 1982 et 1991, les gouvernements ont réussi à réduire la part de l'Etat de 53% à 40%.

Nous mettons tous les gouvernements au régime : l'État belge, les régions, les communes et l'Europe. Elles doivent être plus simples et plus transparentes. Les tâches non essentielles organisées par le gouvernement seront privatisées (jouer à la banque n'est pas une tâche essentielle).

Briser les monopoles pour faire baisser les prix

Vous payez votre eau, votre électricité, votre gaz, l'élimination de vos déchets et les transports publics à des prix élevés parce que des monopoles contrôlent l'ensemble du marché, souvent par l'intermédiaire d'intercommunales non démocratiques. L'absence de concurrence fait grimper les prix. Nous devons briser ces monopoles partout où c'est possible et libérer le marché pour que vous payiez moins.

Plus d'opportunités pour le secteur privé

Dans tous les secteurs, des conditions de concurrence équitables sont nécessaires pour organiser une concurrence libre et loyale entre les entreprises. De cette manière, VOUS obtenez des produits plus équitables.

Le gouvernement Votre ami

Lorsque vous faites des erreurs, le gouvernement fait preuve de compréhension. L'État vous sert, conseille, guide et encourage pour que vous puissiez vous développer librement. L'État préfère les incitations aux punitions. Seuls ceux qui ne veulent pas entendre doivent le sentir.

Lorsqu'un nouveau problème social apparaît, le gouvernement le traite de manière réfléchie. Trop souvent, le remède du gouvernement est pire que le mal. C'est pourquoi, à chaque nouvelle mesure, le gouvernement doit se demander si la nouvelle mesure est pertinente. Il n'est pas toujours nécessaire de créer des tas de règles, de sanctions et d'administrations. D'autres options sont toujours à l'étude.

3| POUR UNE EUROPE LIBRE ET DEMOCRATIQUE

L'Europe au régime

 

Nous mettons tous les gouvernements au régime, y compris l'Europe. Ses institutions fonctionnent trop lentement parce qu'il y a trop de bureaucratie. L'Europe doit être plus simple et plus transparente. Une Europe efficace. Ici aussi, nous voulons appliquer le principe de subsidiarité : des compétences aussi proches que possible des citoyens, dans un souci d'efficacité.

Une Europe efficace passe aussi par une Europe démocratique. Avant d'envisager de nouveaux pouvoirs, il est nécessaire de renforcer la démocratie de l'UE.

C'est une bonne chose que l'Europe protège notre vie privée, mais la législation GDPR passe à côté de la réalité : chaque jour, des personnes signent des textes qu'elles n'ont pas lus. La réglementation européenne doit être plus proche de la réalité.

Démocratie européenne directe

 

Des groupes de pression obscurs et des administrateurs politiques nommés par les diplomates déterminent trop souvent le cours de l'Europe. L'UE a besoin d'une démocratisation approfondie, sans quoi les nouvelles réglementations risquent toujours d'être taillées sur mesure par des groupes de pression petits mais puissants, qui poursuivent leur propre intérêt, et non l'intérêt général des citoyens européens.

Le président européen sera élu au suffrage direct

 

L'Europe a besoin d'un vrai parlement avec un système démocratique mixte de démocratie directe (une circonscription européenne) et des députés pour chaque pays.

Une démocratie ne peut fonctionner que si les gens savent ce qui se passe.

La transparence est une nécessité. Même dans les relations entre le conseil d'administration et les groupes de pression. Tous les contacts avec ces groupes doivent être ouverts et exposés. Finies les politiques d'arrière-boutique.

Pour plus de démocratie internationale

 

Vous devriez parfois pouvoir exprimer directement votre opinion sur les décisions des organisations internationales. C'est pourquoi les référendums sont également une nécessité. Il faut vraiment que les citoyens soutiennent l’idée derrière l’UE. La technologie sera utilisée à cette fin.

4| PLUS DE JUSTICE. MOINS D'INERTIE

Nos forces de sécurité sont débordées. De la police aux tribunaux. Cela s'explique en grande partie par le fait que les hommes politiques ne cessent d'élaborer de nouvelles lois et de nouvelles règles. En particulier des règles qui restreignent votre liberté plus que celles les criminels. Ces lois et règles sont liées à des sanctions, des amendes, des poursuites et des administrations. Lorsque les choses tournent mal, de nouvelles règles, encore plus de personnel et encore plus de dépenses s'ensuivent. Il est temps de briser cette spirale.

 

Pour un système judiciaire et policier du 21e siècle

La justice dépend de l'efficacité de la justice du 21e siècle. Cela nécessite une numérisation et une accélération poussées de tous les processus. Une réorganisation qui réussit à fournir un meilleur travail avec moins d'argent. En échange de méthodes de travail efficaces, d'une simplification et d'outils de travail performants, nous devrions attendre de la justice et de la police qu'elles soient rapides. Maximum 3 mois par instance pour les procédures civiles. Maximum 1 an pour les procédures pénales.

Moins de lois, moins de règles, moins de procédures, moins de prescripions, moins d'administration.

 

Des méthodes de travail nouvelles et modernes peuvent remplacer les anciennes pratiques. Comme le P.V. qui peut être remplacé par des interrogatoires vidéo. Il n'est pas acceptable qu'en 2023, l'informatisation de la justice et de la police n'en s o i t qu'à ses balbutiements. D'ailleurs, dans de nombreux cas, des applications informatiques (coûteuses) existent, mais de nombreux juges ne les utilisent tout simplement pas et, par habitude, travaillent encore avec de vieux dossiers papier. En outre, trop d'agents de police sont affectés aux amendes pour les petits excès   de vitesse. Il n'est un secret pour personne que cela n'a rien à voir avec la sécurité routière, mais tout à voir avec l'enrichissement du Trésor public. Cela doit cesser.

Le temps de la vraie justice

De cette manière, nous pourrons consacrer plus de temps à la lutte contre la criminalité qui déstabilise la société : violence, terrorisme, harcèlement, corruption, fraude sur Internet, délinquance juvénile... Les victimes de la criminalité méritent que l'on agisse. Ceux qui déstabilisent la société par la criminalité doivent être temporairement mis à l'écart de la société pour protéger les gens. La suppression des obstacles à la mise en détention provisoire des criminels est un sujet de discussion. Il en va de même pour les procédures rapides. Les procédures lentes créent l'impunité. Cela nuit à la justice. Le sentiment de justice assure la sécurité.

 

Les décisions sont là pour être mises en œuvre

La crédibilité de la justice dépend de l'exécution des décisions. Toutes les personnes punies doivent purger leur peine. Il incombe au gouvernement de prévoir suffisamment de places pour que les criminels dangereux ne se retrouvent pas dans la rue le lendemain. Il n'est pas acceptable que les mineurs qui commettent un crime violent,    d’’une extrême gravité soient libérés s'il n'y a pas de places d'accueil dans le système spécial de protection de la jeunesse.

Garantir un nombre suffisant de places d'accueil est une tâche essentielle du gouvernement. S'il ne le fait pas, la balance doit pencher en faveur de la protection de la société, même si les mineurs délinquants doivent alors être temporairement enfermés avec des adultes.

 

Pour protéger les citoyens d'un État autoritaire

La séparation entre la politique et la magistrature doit être plus radicale. Les magistrats sont les premiers protecteurs du peuple contre un gouvernement qui va trop loin. Plus la séparation avec la politique est grande, mieux les magistrats peuvent faire respecter Vos droits et libertés fondamentales. Sans influence politique.

Pour une approche internationale

 

Votre sécurité est essentielle. C'est pourquoi nous assurons une coopération européenne et internationale efficace dans laquelle les droits de l'homme universels sont préservés. Nous évitons de coopérer avec des régimes qui ne garantissent pas suffisamment les droits humains. Si la coopération est inévitable, nous restons vigilants et circonspects.

5| MIGRATION SOUS CONDITION
 
Fiers de nos valeurs

En quelques décennies, la Flandre et la Belgique sont devenues extrêmement diverses dans la plupart des endroits. Plus d'un tiers des citoyens sont déjà issus de l'immigration, avec ou sans la nationalité belge. Dans ce contexte, il est fondamental que les citoyens de la Flandre et de la Belgique puissent bénéficier d'un accès à l'information et à la formation. Il est également important que les libertés, normes et valeurs que nous avons acquises soient acceptées et respectées par tous : liberté de religion, séparation de l'Église et de l'État, liberté d'expression, droits de l'homme universels, démocratie, égalité entre les hommes et les femmes, ... Elles figurent dans notre Constitution. Nous en sommes fiers à juste titre. Toute personne résidant sur notre territoire souscrit donc explicitement à la Déclaration universelle des droits de l'homme et à la Convention européenne des droits de l'homme. Nous attendons également de chacun qu'il apprenne la langue de travail de la région où il vit afin d'ètre capable à communiquer avec ses concitoyens. Cela s'applique également aux travailleurs migrants (voir ci-dessous) et aux nouveaux arrivants dans le cadre du regroupement familial. Seules les personnes séjournant dans notre pays pour une courte période (par exemple les étudiants, les travailleurs migrants ayant une mission spécifique de courte durée, ...) peuvent bénéficier d'une exception en ce qui concerne la connaissance de la langue.

Vivre ensemble dans l'inclusion

 

Nous sommes une société inclusive. Nous n'excluons personne sur la base de ses traits extérieurs, de la couleur de sa peau, de son âge, de son sexe, de son orientation, de ses croyances ou de ses convictions. La cohabitation avec des personnes de cultures et de conceptions de la vie différentes exige un effort continu de la part de chaque citoyen. Le gouvernement soutient les initiatives qui rassemblent, respectent et continuent à rencontrer des citoyens d'origines diverses. Cela se fait dans tous les domaines sociaux possibles (éducation, culture, sports, quartiers, ...) sans gaspiller de subventions ni faire preuve de condescendance à l'égard des gens.

 

L'une des tâches essentielles du gouvernement est d'organiser (ou de faire organiser) avec vigueur l'accueil et l'orientation des nouveaux arrivants afin qu'ils se familiarisent le plus rapidement possible aux règles de vie dans notre société. Ceux qui ne veulent pas se conformer aux règles et/ou qui abusent des services communautaires se placent en dehors de la société et peuvent être obligés à quitter le pays selon une procédure transparente.

Des procédures efficaces et transparentes

 

Les nouveaux migrants et les demandeurs d'asile sont soumis à des procédures nationales et internationales claires qui doivent être suivies rapidement et rigoureusement. Dans un délai d'un mois, un nouvel arrivant doit savoir s'il a le droit de rester. Les personnes qui n'ont pas le droit de rester doivent partir immédiatement. Les accords avec les pays d'origine concernés pour mettre en œuvre une politique de retour efficace sont une priorité.

Ceux qui sont autorisés à rester acquièrent immédiatement le droit de travailler. L'aide aux nouveaux arrivants est organisée de manière à les encourager fortement à travailler efficacement.

La migration de la main-d'œuvre pour des périodes courtes ou longues est possible pour les postes vacants qui ne sont pas pourvus. La procédure doit être rapide et transparente. Nous introduisons la migration circulaire : Les travailleurs émigrent pour une courte période et retournent ensuite dans leur pays d'origine. Cela peut s'inscrire dans le cadre d'une coopération internationale avec un pays ou une région en particulier.

 

L'objectif est de trouver un équilibre entre les besoins en main-d'œuvre du pays d'accueil (Flandre/Belgique) et les besoins en développement du pays d'origine des travailleurs migrants temporaires.

6| POUR UNE POLITIQUE ACTIVE EN MATIÈRE D'ENVIRONNEMENT ET DE CLIMAT. POLITIQUE DE LUTTE CONTRE LE HARCÈLEMENT DES MASSES

Grâce au progrès technologique, au marché libre et à notre sécurité sociale, nous vivons plus longtemps que jamais. Nous avons plus de temps libre qu'auparavant. Par conséquent, nous vivons mieux qu'avant. C’est un héritage que nous tenons de nos parents et grands- parents. Ils n'ont pas adhéré à la décroissance, au consumérisme et au limitarisme. Au contraire. La croissance et la consommation les ont fait avancer. Grâce aux nouvelles technologies, nous pouvons faire de même tout en respectant la nature. Ce qui n'était pas possible auparavant.

 

Nous abandonnons les expériences économiques et les théories qui n'ont jamais été prouvées. Nous gardons les pieds sur terre. Nous ne démolissons pas l'héritage mais optons pour l'innovation : une politique environnementale et climatique éco-moderniste proactive.

L'environnementalisme est essentiel et économiquement réalisable sans tabou. Qu'il s'agisse de nouveaux petits réacteurs nucléaires, d'hydrogène ou de véhicules autonomes, nous accueillons favorablement les nouvelles technologies.

 

Pour une accélération technologique

 

L'élimination progressive des combustibles fossiles et des matières premières non européennes nécessite une forte accélération. Nous voulons de l'air pur et de l'eau propre plus rapidement. Pour soutenir cette révolution technologique, la prospérité est nécessaire. Les barrières, les monopoles, les vieilles solutions, les structures complexes et les règles erronées font obstacle à cette évolution. Nous devons ouvrir la société à l'innovation. Sans tomber dans le piège d'une action simpliste et irréfléchie, d'un dogmatisme aveugle. Un exemple de dogmatisme aveugle : le gouvernement a fermé 2 des 7 réacteurs nucléaires sans disposer d'alternatives suffisamment sûres et abordables. Il prévoit la fermeture des 5 réacteurs nucléaires restants en 2025.

 

Si nous plaçons à juste titre la barre très haut en matière de politique environnementale et climatique sur notre territoire, nous devrions faire de même pour les produits que nous importons d'autres pays.

 

Pour les transports publics du futur

Une offre de transport public efficace de la part de l'État est liée à faire en sorte que cette offre fonctionne correctement. Ne pas le faire, c'est manquer de respect aux gens. La perspective à long terme de la politique des transports actuelle n'est pas la bonne. Le gouvernement adapte trop lentement l'infrastructure et la technologie utilisée.

Cela empêche l'innovation. En rendant les données disponibles au public, on laisse la place à la technologie de la ville connectée  (pour l'éclairage, le stationnement, la fluidité du trafic, etc.). Nous sommes coincés dans des embouteillages, des zones à faibles émissions, des conditions dangereuses pour les usagers de la route les plus faibles, des feux rouges à des endroits inutiles, des limitations de vitesse inappropriées, une mer de panneaux de signalisation, des rétrécissements de route pour des travaux routiers interminablement lents et d'autres tracasseries. En novembre  2023, un train sur cinq avait plus de six minutes de retard. La ponctualité des trains en 2023 a atteint son niveau le plus bas depuis le début des mesures en 2016 (source : SNCB). Les trajets en train durent également plus longtemps qu'il y a 20 ans. Par exemple, le trajet Bruxelles-Ostende dure 8 % plus longtemps qu'il y a 20 ans : Bruxelles-Ostende prend 8 % de temps en plus. Dans les villes, les tramways sont dépassés par les trottinettes électriques.

De nombreuses solutions technologiques nouvelles voient le jour. Elles représentent de nouvelles opportunités où notre pays peut jouer un rôle de pionnier au lieu de devoir suivre les Américains ou les Asiatiques. Une politique de mobilité durable se concentre sur les nouvelles solutions. En termes de transport public rapide sur de longues distances, il est temps d'ouvrir notre infrastructure à des alternatives qui complètent les avions et les trains continentaux. Non pas en forçant les gens à choisir autre chose, mais en leur donnant le choix. C'est ainsi que nous pourrons nous orienter vers une innovation soutenue par les citoyens eux- mêmes. Sinon, nous nous retrouverons avec des systèmes tels que les transports publics actuels, qui ne sont utilisés que pour 4 % de nos déplacements (source : Travel Behaviour Survey 6). Dans les villes, cette part est certes plus élevée.

 

Pour le soutien au transport privé

 

L'espace et le confort du transport privé sont importants. Pour des distances raisonnables, de nombreuses personnes se sont spontanément tournées vers les pédélecs, même avec un gouvernement réticent. Il n'appartient pas au gouvernement d'imposer ces véhicules, et encore moins de les restreindre. Opter pour une infrastructure séparée où ces petits véhicules peuvent se déplacer confortablement à une vitesse compétitive ouvre notre marché au développement d'une industrie totalement nouvelle. Notre pays est densément peuplé. Le manque d'espace oblige les gens à trouver des solutions innovantes. C'est au gouvernement de donner de l'espace à l'innovation.

 

Nouveaux logements abordables

 

Les jeunes ont du mal à acheter un logement. Or, l'accession à la propriété est un amortisseur de la pauvreté. Les prix des logements abordables sont trop élevés parce que la demande dépasse largement l'offre. La demande de logements augmente en raison de la croissance démographique. Mais l'offre n'augmente pas en même temps parce que le gouvernement freine la demande. Il empêche les gens de construire en appliquant des procédures lentes et complexes. Des règles de construction simples et claires devraient remplacer les procédures compliquées.

 

Nous devons également faire preuve d'innovation. Ici, nous pensons soit à la construction d'une nouvelle ville où il fait bon vivre, soit à l'aménagement durable des villes existantes. Une ville durable avec des maisons et des bureaux neutres en énergie, des jardins, suffisamment d'espace pour les piétons et les cyclistes, une circulation fluide, des arbres et des étangs. C'est possible dans une région peu peuplée. Pour que les jeunes puissent à nouveau rêver de posséder leur propre maison. Une étude montre que 8 Flamands sur 10 âgés de 20 à 40 ans rêvent d'une maison individuelle (source : Livios '23). Le gouvernement devrait davantage tenir compte des rêves des jeunes Flamands et trouver un bon équilibre entre l'homme et la nature.

 

Nos villes doivent être propres et sûres. La collecte des déchets ne doit pas être un monopole public. Sur la base d'appels d'offres publics transparents, le secteur privé peut faire sa part pour collecter les déchets en douceur et les traiter en toute sécurité dans le cadre d'accords de concession clairs ou, le cas échéant, par le biais de privatisations d'agences existantes.

7| DROITS DE L'HOMME APPLICABLES ET LIBERTÉ D'EXPRESSION

Le gouvernement n'a pas à s'immiscer dans VOTRE vie privée. Les lockdowns, les Covid Safe Tickets, les caméras à tous les coins de rue, les laissez-passer, les restrictions excessives sur l'argent liquide, la censure et autres mesures qui restreignent nos libertés sont indignes d'une démocratie libre. Nous exigeons que VOS droits de l'homme, y compris vos droits de propriété, soient applicables. L'État de droit libéral est la pierre angulaire de la société.

Pour plus de liberté

 

Les peuples ont le droit à l'autodétermination. Patron de ses convictions, de ses actes et de sa propre vie. Un droit à l'autodétermination qui s'applique également à la société elle-même, aux régions par exemple.

Pour une véritable protection internationale des droits de l'homme Les mécanismes internationaux que nous avons mis en place au siècle dernier pour prévenir les violations des droits de l'homme et du droit humanitaire sont en train d'échouer. Nos institutions internationales ont besoin d'une réforme démocratique.

Nous attendons de la Cour pénale internationale et de la Cour européenne des droits de l'homme qu'elles interviennent rapidement en cas de violation des droits de l'homme.

Notre petit pays peut à nouveau être ambitieux sur la scène mondiale. Après tout, au XIXe siècle, nous étions le cinquième pays le plus riche du monde.

Nous prenons des initiatives en faveur de la paix et des droits de l'homme. Dans le cadre de notre coopération au développement, nous nous concentrons sur les mouvements civils, contre les régimes qui violent leurs droits humains universels. Nous le faisons d'une voix déterminée dans les forums internationaux. Nous n'avons pas peur de montrer ce que nous défendons.

8| L'ÉDUCATION DE NOUVEAU AU SOMMET DE L'UE

La qualité de notre enseignement doit revenir au sommet de l'UE. Nous devrions exiger davantage de notre jeunesse. L'apprentissage n'est pas un sujet tabou. Il est nécessaire de fixer des objectifs centraux de réussite qui placent la barre plus haut. Cela ne veut pas dire que le ministre doit décider de la durée du temps de jeu. L'éducation, jusqu'au niveau secondaire inclus, est avant tout un domaine qui peut être décidé au niveau local. En rapprochant l'organisation des personnes et des écoles, on donne à ces personnes et à ces écoles une marge de manœuvre beaucoup plus grande.

L'administration centrale peut être progressivement supprimée. L'offre scolaire locale peut être adaptée aux besoins locaux. Avec une approche pratique ces dernières années. La gestion des bâtiments et la liberté de remplir le statut du personnel peuvent permettre un meilleur encadrement et une plus grande efficacité. La pénurie actuelle d'enseignants est fortement liée au statut trop strict des nominations permanentes et à l'utilisation inefficace des enseignants.

Pour plus de qualité dans l'éducation

Nous demandons l'arrêt du nivellement par le bas de l'éducation. Le niveau de notre enseignement doit être relevé de toute urgence. De nombreux classements internationaux révèlent des chiffres alarmants pour la Flandre. Les résultats des enquêtes sur la compréhension de la lecture et l'arithmétique sont parmi les plus bas de l'OCDE. Dans le classement PIRLS, la Flandre n'apparaît pas dans le top 20. C'est le cas de la Pologne. Le Kazakhstan est au- dessus de la Flandre dans le classement ICILS. Pour la sixième fois consécutive, l'enseignement flamand recule dans le classement international PISA. Il y a 20 ans, 3 enfants flamands sur 10 figuraient parmi les meilleurs élèves. Aujourd'hui, ils ne sont plus que 3 sur 20.

Nous passons un accord avec les filets : nous donnons plus d'autonomie à l'éducation, en échange d'un niveau plus élevé d'étudiants diplômés. La compétitivité ne doit pas être un tabou. Le premier de la classe est une note et non un smiley. Dans un monde surchargé d'informations, il est important que les enfants développent un esprit critique pour devenir des adultes autonomes et sûrs d'eux. Un esprit critique, équilibré et autonome permet de se prémunir contre un large éventail de dangers (notamment les fausses promesses de l'extrémisme politique ou religieux, les fausses promesses de la consommation de drogues dures, les fausses promesses des escrocs en ligne, la prise de risques irresponsables dans le domaine financier, etc.).

Plus d'enseignants devant les salles de classe que derrière les bureaux. Il y a 82 520 enseignants pour 723 308 enfants dans l'enseignement primaire, sans compter le personnel des CLB. Cela signifie qu'il y a 1 membre du personnel pour 8,8 enfants (source : administration flamande de l'enseignement). Une classe de moyenne grandeur compte 20 élèves. Cela signifie qu'il y a plus de personnel enseignant dans l'administration que devant la classe. Pour Vous veut inverser cette tendance.

Apprendre jeune, équivaut à comprendre plus rapidement. C'est pourquoi nous réduisons la durée de l'enseignement obligatoire de 3 à 16 ans.

Pour une bonne éducation sociale

 

L'éducation est plus qu'une préparation au marché du travail. L'éducation a pour mission de préparer nos enfants à la démocratie et à la participation à la société. Ceux qui obtiennent leur diplôme devraient connaître nos valeurs et normes fondamentales et le fonctionnement de notre démocratie. Ceux qui obtiennent leur diplôme devraient être censés connaître les compétences de base nécessaires à une vie indépendante : comment contracter des emprunts, gérer le budget familial, conclure des contrats de location, souscrire une assurance...

Les programmes d'études doivent être politiquement neutres.

Des universités de haut niveau à des prix abordables

La recherche universitaire doit être et rester libre. Les universités doivent être bien financées pour garantir la qualité. C'est pourquoi les spin-off doivent veiller à ce que l'université mère obtienne des parts dans le spin-off en échange de l'utilisation de ses bureaux et de son personnel. De cette manière, une partie des gains en capitaux privés revient à la communauté et les frais d'inscription restent abordables pour les étudiants.

9| LAISSER LES AGRICULTEURS UTILISER LEURS TERRES

L'agriculture est un secteur primaire, essentiel à un approvisionnement alimentaire de qualité. De nombreux agriculteurs abandonnent leur activité en raison des politiques qui restreignent, réglementent, punissent et mettent en péril leurs terres. La législation relative à l'agriculture et à l'environnement est un tel enchevêtrement de contradictions qu'il est impossible d'appliquer correctement tout ce que le gouvernement impose. L'agriculteur est un entrepreneur. L'agriculture dans un environnement réglementaire stable et prévisible est cruciale. C'est ainsi que l'agriculture pourra redevenir rentable. L'agriculture mérite d'être soutenue pour se développer technologiquement, au lieu d'être entravée. L'agriculture est pratiquée dans le respect de la nature, des personnes et des animaux.

L'azote suffocant - et d'autres projets

Nous rayons de la carte l'accord actuel sur l'azote. Un nouvel accord est nécessaire, basé sur des chiffres précis et réels et sur les conseils des agriculteurs eux-mêmes. Le gouvernement impose des normes réalistes. Il ne doit fermer aucune exploitation.

Les agriculteurs innovent. Ils privilégient une agriculture soucieuse de l'environnement. C'est dans leur propre intérêt. Les procédures de l'OIVL doivent avancer plus vite. La coopération entre les écoles d'agriculture pour l'enseignement technologique peut garantir que les jeunes entrants sont mieux armés. La recherche et le développement doivent être orientés vers les résultats.

Des règles réalistes qui ne se contredisent pas (sur la PAC et la PAE, par exemple), moins de délais et une approche plus réaliste pourraient faire beaucoup de bien au secteur. Le climat joue également un rôle à cet égard. Trop souvent, les règles sont promulguées de manière générale, puis contrecarrées par les conditions météorologiques. La flexibilité est une nécessité. L'évaluation des politiques devrait se fonder sur des chiffres réels issus de la pratique, et non sur des modèles de simulation.

Les utilisations innovantes ne doivent plus être freinées. L'élevage innovant dans le respect des droits des animaux.

Plus d'humanité dans l'aménagement du territoire

La propriété n'est pas un simple bout de papier. Les accords conclus doivent être respectés. Une délimitation claire des terroirs et les zones agricoles dans le plan régional est important. Tout cela avec des règles claires sur ce qui peut et ne peut pas être fait. Les règles absurdes, telles que celles relatives à l'aliénation des zones, doivent être révisées.

En tant qu'agriculteurs, vous aurez davantage votre mot à dire dans l'interprétation de l'aménagement du territoire. Les réglementations ne doivent pas avoir pour but de rendre la vie dans les villages impossible. Au contraire. Vivre dans de petits villages en milieu rural est une forme de cohabitation qui présente d'importants avantages.

Nous limitons les procédures d'autorisation à six mois avec un nombre limité de fonctionnaires. L’octroi d’une autorisation. sera réaliste, uniforme et claire.

10| SUBVENTIONS ÉCONOMIQUES REMPLACÉES PAR DES ALLÈGEMENTS FISCAUX

Chaque année, la Flandre accorde 4,7 milliards d'euros de subventions économiques aux entreprises. Les subventions économiques favorisent les grandes entreprises employant de nombreux salariés. L'administration des subventions coûte cher. Elle ouvre également la porte au népotisme. Cela doit cesser. Comment pouvons-nous allouer des fonds à la recherche et à l'innovation de manière plus économique et plus équitable ? Par la déductibilité fiscale : les déductions fiscales sont les mêmes pour toutes les entreprises et ne nécessitent pas d'administration distincte. Il est donc moins coûteux pour l'État d'accorder une déduction fiscale qu'une subvention économique. Nous remplaçons les subventions économiques par des allégements fiscaux.

Nous rendons les subventions transparentes

 

Notre pays compte des centaines d'administrations de subventions différentes, chacune utilisant l'argent de vos impôts pour allouer des subventions différentes. L'Europe le fait, mais aussi le gouvernement fédéral, les régions, les communautés, les provinces, les intercommunales et les communes. Personne n'a de vue d'ensemble. Le montant total des subventions accordées devrait être rendu transparent, comme l'a fait la Région flamande. La Flandre verse chaque année 17,7 milliards d'euros de subventions sur ses 56 milliards d'euros de recettes, dont 4,7 milliards sont des subventions aux entreprises.

 

L'État ne devrait pas distribuer de cadeaux avec l'argent de vos impôts

Les organisations qui reçoivent des subventions pour la recherche et le développement doivent rendre compte des résultats obtenus. Vous avez droit à la transparence en la matière. Pour la recherche et le développement, nous maximisons la déductibilité fiscale.

11| UN FILET DE SÉCURITÉ SOLIDE POUR TOUS, PAS UN HAMAC

La richesse n'est pas une honte. La pauvreté doit être éliminée du monde. C'est pourquoi la solidarité existe. Pour que la solidarité soit durable, tout le monde doit contribuer, sinon le système s'effondre. Aujourd'hui, il y a un trop grand nombre de personnes qui ne contribuent pas. Les meilleurs remèdes contre la pauvreté sont le travail et le bon fonctionnement de l'économie. C'est pourquoi il faut donner à tous les pauvres la possibilité de sortir de la pauvreté et de la saisir. Ceux qui ne peuvent pas travailler doivent pouvoir compter sur un filet de sécurité : la sécurité sociale. Les malades et les personnes âgées ne doivent pas devenir les victimes de ceux qui ne veulent pas contribuer. Le système ne doit pas permettre au filet de sécurité de devenir un hamac. Nous ne devons exclure personne et mettre tout en œuvre pour que tout le monde s'y mette.

Tout le monde au travail

Tous ceux qui veulent travailler travailleront. Nous mettons tout en œuvre pour que tout le monde travaille. Y compris tous les bénéficiaires d ' allocations. Laisser les gens assis chez eux avec une allocation est antisociale. Nous limitons le chômage dans le temps.

 

Pour les personnes atteintes d'une maladie de longue durée, la recherche d'un travail adapté est beaucoup plus intensive. La reprise progressive d'un travail ou d'un travail adapté est plus bénéfique que de rester trop longtemps à la maison.

Ceux qui ne veulent pas travailler peuvent choisir de le faire, mais à leurs propres frais. Bien sûr, il y a des facilités minimales telles que l'infrastructure routière et les soins médicaux.

 

Les étudiants sont libres de travailler autant d'heures qu'ils le souhaitent. Nous supprimons le plafond de 600 heures (79 jours ouvrables complets).

 

Une sécurité sociale durable pour ceux qui ont des besoins réels

Ceux qui cotisent méritent la sécurité sociale. Les personnes âgées ne méritent pas d'avoir à s'inquiéter de l'accessibilité de leurs pensions. Pour ceux qui sont malades, il devrait toujours y avoir une sécurité sociale. C'est pourquoi le gouvernement doit veiller à ce que la sécurité sociale reste abordable. Nous attendons de tous ceux qui peuvent travailler qu'ils cotisent.

 

Les listes d'attente pour les personnes handicapées, les maisons de repos ou les centres de santé mentale doivent être éliminées en l'espace d'une législature. Un moratoire sur l'ouverture de nouveaux centres de soins résidentiels est incompatible avec le vieillissement de la population. Nous nous engageons en faveur de projets à petite échelle tels que la cohabitation, la vie en kangourou pour les personnes âgées, les maisons de convalescence, la vie assistée, les villages de soins et les quartiers de soins. De cette manière, toutes les générations peuvent à nouveau vivre ensemble et nous luttons contre la solitude. En assouplissant la réglementation, le gouvernement peut jouer un rôle stimulant.

Un pacte pour une assurance pension abordable

Vous avez droit à des garanties concernant votre pension. Nous devons chercher des solutions gagnantes dans tous les secteurs. Pendant des années, nous avons cherché de l'aide pour la garde d'enfants alors que les jeunes retraités étaient radiés. Ceux qui veulent aider à la garde d'enfants en tant que jeunes retraités devraient être récompensés. De même, il y a beaucoup de travail adapté à trouver dans la transition vers la retraite complète.

Pour Vous veut offrir (aux employeurs) une formule fiscalement attrayante pour les seniors qui souhaitent encore travailler après l'âge de la retraite. Par exemple, nous nous intéressons à l'enseignement où leur expérience et leur expertise sont  plus que bienvenues.

Enfin, renforcer les soins de santé

Les soins de santé méritent plus de mains au chevet des patients, moins au conseil d'administration.

 

Les institutions de soins de santé devraient écouter davantage les connaissances de terrain des professionnels de la santé, des infirmières et des médecins. Le bon sens est également la base de la réorganisation du secteur des soins de santé. Toujours en collaboration avec les prestataires de soins de santé eux-mêmes. La législation GDPR ne doit pas être utilisée à mauvais escient pour créer des désagréments administratifs.

 

Un statut social

 

Vous avez droit à un bon statut social, avec des garanties pour l'avenir. Nous travaillons donc sur un statut social unique pour les salariés, les indépendants et les fonctionnaires. Nous simplifions ainsi la sécurité sociale pour qu'elle reste abordable. Nous finançons ainsi la sécurité sociale par des taxes simplifiées qui réduisent également le coût du travail.

12| PLUS DE PERSONNES AU TRAVAIL, PLUS DE RÉSEAU, MOINS DE COÛTS SALARIAUX, PRESTATIONS DE CHÔMAGE LIMITÉES DANS LE TEMPS

Trop peu de personnes travaillent dans notre pays : le taux d'emploi est de 72,2 %, contre 82,9 % aux Pays-Bas (Eurostat). Cette situation s'explique par le fait que l'écart entre les allocations et les salaires est trop faible. Le revenu d'intégration avec charges familiales s'élève à 1707 euros (non imposés), tandis que le salaire minimum brut est de 1995 euros (à temps plein et imposés). Les personnes qui travaillent bénéficient de moins de réductions et doivent supporter des coûts supplémentaires tels que la mobilité et la garde d'enfants. Le travail n'est pas rémunérateur pour les revenus les plus faibles. Les gens restent donc trop longtemps au chômage ou inactifs. Nous devons éliminer ce "piège de l'inactivité".

Allégements fiscaux : les plus modestes d'abord

En mettant l'État et les politiciens au régime, on libère de l'espace pour une réduction d'impôts. Nous pourrons réduire encore plus les impôts pour VOUS si davantage de personnes commencent à travailler, car elles seront plus nombreuses à cotiser. Il est donc logique de réduire d'abord les impôts des personnes qui gagnent le moins. Ils tireront alors plus d'avantages à travailler qu'à ne pas travailler.

 

Taux d'activité plus élevé grâce à un travail adapté

 

Parmi les chômeurs, les retraités, les malades de longue durée et les personnes handicapées, il y a des gens qui veulent travailler, éventuellement avec un travail adapté. Mais, à cause du "système", elles n'y sont pas autorisées ou n'ont aucun intérêt à le faire. Avec VOUS, nous procéderons à un examen approfondi et à des ajustements afin d'éliminer tous les pièges de l'inactivité qui font actuellement obstacle à l'augmentation des niveaux d'activité.

Limiter les allocations de chômage dans le temps

 

La Belgique est le seul pays où le chômage est illimité dans le temps. Il s'agit d'une anomalie car les allocations de chômage sont un mécanisme d'assurance. Nous limitons le chômage à un an plus des mois supplémentaires en fonction des années déjà travaillées parce qu'il est possible pour les personnes en bonne santé de trouver un travail convenable au cours de cette période. Ainsi, nous protégeons mieux les travailleurs âgés qui ont déjà beaucoup contribué contre les revers soudains et les opportunités parfois moins évidentes sur le marché du travail. Nous permettons aux régions de fixer des limites encore plus strictes. Une meilleure coopération entre les régions est nécessaire pour pourvoir les  postes vacants plus rapidement.

 

Nous assurons une meilleure orientation sur le marché du travail afin que personne ne soit laissé de côté. Les chômeurs qui restent chez eux pendant plus d'un an mettent en péril leur potentiel. Notre société a besoin de tout le monde.

bottom of page